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Allez aujourd'hui, j'ai le plaisir de vous présenter une petite revue de ma Panerai 40 B (hé hé, je n'en reviens pas ; c'est moi qui écrit cette phrase : "... MA Panerai 40 B" !...).
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Les informations qui suivent ont été reccueillies sur divers supports et notamment une revue de Patrice P. (qui se reconnaitra et que je salue bien bas car il m'a super bien renseigné et rassuré lors de mon achat).
Alors La Panerai 40 B est taggée en année B, soit 1999.
Cette montre a une histoire très particulière. Elle est, en effet, et à ma connaissance, la seule Panerai a avoir figuré sur aucun catalogue (ni sur les catalogues classiques, ni sur les catalogues des séries spéciales). Cette anecdote lui confère un petit côté furtif et mystérieux qui ajoute au charme de la belle (et moi, j'aime bien le mystère !).
En fait, la 40 B devait préfigurer la sortie en série spéciale de la 36B. Ces deux modèles étant les premières Panerai développées sur des boîtiers en titane (Je dis bien "développées" car la première Panerai en titane réellement sortie sur le marché sera la 25 A).
La 40 B possède donc un boîtier 6510 et est animée par un mouvement OP II (un bon vieux Unitas 6497/2 des familles !).
Ses caractéristiques : un cadran noir un peu spécial. En effet, contrairement aux cadrans noirs que j'ai vu sur d'autres Pannie, celui de la 40 B est presque fumé. Avec une certaine lumière, il prend une lègère teinte bronzée. Nous ne sommes évidemment pas sur le cadran tabac de la 36B, mais le noir du cadran de la 40 B est vraiment à tomber. Et ce d'autant plus avec le contraste apporté par la très belle couleur sable ou coquille d'oeuf des index au tritium (arghhh que c'est beau le tritium !).
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Trois lignes "luminor - marina- panerai" et that's all folks ! J'avoue que je préfère même ça aux quatre lignes mythiques de la 36 B (avec le fameux "marina militare"). Les trois lignes sont plus équilibrées, à mon humble avis. Et puis, ça correspond davantage à l'image originelle qui s'est impregnée dans ma rétine, le jour où je suis tombé pour la première fois en arrêt devant la photo d'une Panerai.
Une petite seconde à 9 heures.
Les aiguilles sont "no matching", c'est à dire qu'elles sont d'une couleur plus pâle que les index .
On a donc plusieurs couleurs qui se répondent parfaitement : le blanc des inscriptions et de l'aiguille des secondes, le coquille d'oeuf des index et le crème des aiguilles des heures et des minutes.
Le boîter en titane grade 2, contrairement à celui de la 36 B , présente un fond plein. Ce qui est pour moi, une excellente chose, car ça ajoute au caractère "militaro vintage" de la montre.
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LA 40 B a été fabriquée a seulement 200 exemplaires qui ont été mis à la vente dans quatre pays (la France, l'Allemagne, le Japon et les USA).
Elle a été livrée dans une boîte en poirier et une sur boîte avec un format un peu plus petit que les boîtes actuelles (et en carton plus léger que les sur boîtes actuelles). La mienne est full set et est même venu avec son bracelet tan d'origine.
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Ce bracelet est singulier aussi avec sa doublure qui présente des petites tâches qui ressemblent à celles d'un léopard. Il s'agit d'un bracelet série A (le dernier a avoir été fabriqué en Italie). Sa boucle est le modèle Thumbnail mais qui se fixe avec deux vis (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !). Cette boucle peu courante a été simplifié par la suite avec le système à tige filetée que nous connaissons aujourd'hui.
En conclusion, cette PAM 40 B est une Panerai envoutante à plus d'un titre. L'association titane/tritium/cadran noir est sublimissîme. J'avoue passer beaucoup de temps à admirer ses contrastes et à passer pour un débile profond aux yeux de mon entourage (ça fait toujours bizarre un gars qui a le regard fixé sur son poignet pendant de longues minutes ; ça peut même faire flipper, non ?...).
En plus, pour moi, ce modèle me ramène directement à l'élément déclencheur de mon attirance pour Panerai. Je veux parler du boîtier Bettarini, de la lisibilité du cadran, de l'épure des formes. Bref, tout ce qui fait qu'un jour, j'ai basculé dans l'univers Panerai... et que je m'en félicite tous les jours... Au grand dam de mon banquier...
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Alors La Panerai 40 B est taggée en année B, soit 1999.
Cette montre a une histoire très particulière. Elle est, en effet, et à ma connaissance, la seule Panerai a avoir figuré sur aucun catalogue (ni sur les catalogues classiques, ni sur les catalogues des séries spéciales). Cette anecdote lui confère un petit côté furtif et mystérieux qui ajoute au charme de la belle (et moi, j'aime bien le mystère !).
En fait, la 40 B devait préfigurer la sortie en série spéciale de la 36B. Ces deux modèles étant les premières Panerai développées sur des boîtiers en titane (Je dis bien "développées" car la première Panerai en titane réellement sortie sur le marché sera la 25 A).
La 40 B possède donc un boîtier 6510 et est animée par un mouvement OP II (un bon vieux Unitas 6497/2 des familles !).
Ses caractéristiques : un cadran noir un peu spécial. En effet, contrairement aux cadrans noirs que j'ai vu sur d'autres Pannie, celui de la 40 B est presque fumé. Avec une certaine lumière, il prend une lègère teinte bronzée. Nous ne sommes évidemment pas sur le cadran tabac de la 36B, mais le noir du cadran de la 40 B est vraiment à tomber. Et ce d'autant plus avec le contraste apporté par la très belle couleur sable ou coquille d'oeuf des index au tritium (arghhh que c'est beau le tritium !).
" />Trois lignes "luminor - marina- panerai" et that's all folks ! J'avoue que je préfère même ça aux quatre lignes mythiques de la 36 B (avec le fameux "marina militare"). Les trois lignes sont plus équilibrées, à mon humble avis. Et puis, ça correspond davantage à l'image originelle qui s'est impregnée dans ma rétine, le jour où je suis tombé pour la première fois en arrêt devant la photo d'une Panerai.
Une petite seconde à 9 heures.
Les aiguilles sont "no matching", c'est à dire qu'elles sont d'une couleur plus pâle que les index .
On a donc plusieurs couleurs qui se répondent parfaitement : le blanc des inscriptions et de l'aiguille des secondes, le coquille d'oeuf des index et le crème des aiguilles des heures et des minutes.
Le boîter en titane grade 2, contrairement à celui de la 36 B , présente un fond plein. Ce qui est pour moi, une excellente chose, car ça ajoute au caractère "militaro vintage" de la montre.
" />LA 40 B a été fabriquée a seulement 200 exemplaires qui ont été mis à la vente dans quatre pays (la France, l'Allemagne, le Japon et les USA).
Elle a été livrée dans une boîte en poirier et une sur boîte avec un format un peu plus petit que les boîtes actuelles (et en carton plus léger que les sur boîtes actuelles). La mienne est full set et est même venu avec son bracelet tan d'origine.
" />Ce bracelet est singulier aussi avec sa doublure qui présente des petites tâches qui ressemblent à celles d'un léopard. Il s'agit d'un bracelet série A (le dernier a avoir été fabriqué en Italie). Sa boucle est le modèle Thumbnail mais qui se fixe avec deux vis (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué !). Cette boucle peu courante a été simplifié par la suite avec le système à tige filetée que nous connaissons aujourd'hui.
En conclusion, cette PAM 40 B est une Panerai envoutante à plus d'un titre. L'association titane/tritium/cadran noir est sublimissîme. J'avoue passer beaucoup de temps à admirer ses contrastes et à passer pour un débile profond aux yeux de mon entourage (ça fait toujours bizarre un gars qui a le regard fixé sur son poignet pendant de longues minutes ; ça peut même faire flipper, non ?...).
En plus, pour moi, ce modèle me ramène directement à l'élément déclencheur de mon attirance pour Panerai. Je veux parler du boîtier Bettarini, de la lisibilité du cadran, de l'épure des formes. Bref, tout ce qui fait qu'un jour, j'ai basculé dans l'univers Panerai... et que je m'en félicite tous les jours... Au grand dam de mon banquier...
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Dernière édition par CHARLES34 le Mar 27 Oct 2015 - 9:13, édité 3 fois
Encore Félicitations 
