Lorsque l’on évoque la haute horlogerie, ce n’est pas l’Officine PANERAI qui vient en premier à l’esprit.
L’histoire de PANERAI est récente comparée à des Patek Philippe, Rolex, Jaeger-lecoultre et j’en passe.
Ces maisons horlogères bien plus anciennes ont développé bon nombre de calibres et de complications encore d’actualité aujourd’hui.
L’engouement pour la marque n’a jamais été pour son coté horloger, mais plus pour son histoire et le design de ses modèles, relayés par une politique commerciale et un marketing savamment orchestrés par le groupe Vendôme devenue Richemont.
Nonobstant, Le 21ème siècle est le témoin de changements profonds dans l’ordre établi avec l’avènement de plusieurs marques horlogères plus ou moins récentes.
c’est le cas de notre marque préférée devenue véritable manufacture (c’est à dire réalisant ses propres mouvements), avec son premier mouvement le P2002 au début des années 2000.
La réalisation présentée ici est l'une de celles qui fait entrer OP dans la cours des grandes manufactures horlogères.
Avant de vous la présenter plus en détails, un petit rappel historique s’impose.
Hommage au précurseur de la mesure du temps.
Galillé (de son vrai nom Galileo Galilei), Physicien et astronome Italien Né en 1564.
Crédit:Le net
A 19 ans, Galileo Galilei découvre les lois du pendule en chronométrant, selon la tradition à l’aide de son pouls les oscillations d’un lustre de la cathédrale de Pise.
Crédit:Le net
Publiée seulement en 1638, cette loi de l’isochronisme stipule que la durée d’une oscillation ne dépend que de la longueur du pendule et non de l’amplitude du mouvement.
Cette découverte allait permettre la réalisation des premières horloges à poids et à pendule. Une révolution pour l’époque.
L’utilisation du mouvement pendulaire a ainsi apporté une première solution à la précision horlogère dont les Maisons de la branche sont aujourd’hui les directes héritières.
En parallèle, Grace aux travaux qu’avait entrepris avant lui le Néerlandais Lippershey sur le développement des lentilles (longue-vue), Galilée parviendra en quelques mois à obtenir des images droites (grâce à une lentille divergente en oculaire) ainsi que des représentations nettement plus précises tout en augmentant de 30 fois la puissance de grossissement de l’appareil.
Ces observations sont permises par des lentilles nouvelles, polies à Florence, où exercent des maîtres-artisans dont l’art sera de nouveau mis à profit des siècles plus tard par les laboratoires Panerai.
Crédit:Le net
En 1610, ses avancées lui permettront d’observer pour la première fois la voie lactée, la surface irrégulière de la lune, les taches solaires, les phases de Vénus et, surtout, la découverte des quatre satellites de Jupiter, qu’il a baptisés « astres médicéens »
en l'honneur de ses protecteurs et pourvoyeurs de fonds, les Médicis, Grands Ducs de Toscane.
Fort de ces observations célestes, Galilée a non seulement confirmé de façon empirique la théorie héliocentrique de Nicolas Copernic (existence d’étoiles orbitant autour d’un corps céleste autre que la terre), mais il a également permis une avancée importante dans une autre conquête essentielle pour l’époque : le calcul des longitudes en mer.
Il propose une méthode qui utilise le mouvement régulier des satellites de Jupiter en guise d’horloge céleste. Exacte en théorie, la méthode se heurte en pratique à la difficulté à observer le ciel de façon stable depuis un bateau qui tangue.
La solution pour résoudre cet éternel casse-tête pour les navigateurs, viendra un siècle plus tard avec l’invention du chronomètre de marine par L’anglais John Harisson
Chronomètre H1 de Harisson
Crédit:Le net
Pour l’anecdote, Giovanni PANERAI ouvrira sa première boutique près de 280 ans après les découvertes de Galilée
Galilée, mesure du temps, Florence, PANERAI…de cette union symbolique est né le JUPITERIUM en 2010 à l’occasion de l’exposition « Le télescope de Galileo Galilei-l’instrument qui a changé le monde » organisée au musée nobel de Stockholm.
Cette horloge-planetarium à calendrier perpetuel développée par OP est en fait la solution à l’un des rêves de Galilée :
« Pouvoir utiliser le mouvement des satellites de Jupiter comme horloge planétaire parfaite »
C’est donc naturellement que OFFICINE PANERAI, dans le cadre d’un partenariat de longue date, en a fait don en 2012 au MUSEE GALILEO de Florence.
Crédit:Le net
Professeur Paolo galluzzi-Directeur du Museo Galileo
« Grâce à la collaboration féconde qui le lie depuis de longues années à Officine Panerai, le Museo Galileo inaugure une nouvelle section qui illustre quelques unes des plus remarquables conquêtes de Galilée…Ces conquêtes ont non seulement révolutionné la conception de l’univers et du mouvement, mais elles ont permis d’accomplir un bond décisif dans le domaine des systèmes mécaniques de mesure du temps,enclanchant une dynamique de perfectionnement perpétuel, qui n’a cessé depuis lors.
Par son extraordinaire compléxité mécanique et sa rigoureuse précision, le Jupiterium dont officine Panerai a généreusement fait don au Museo Galileo rend compte avec une grande force évocatrice de la relation intime entre tradition et innovation».
Angelo BONATI – CEO Officine Panerai
« Nous sommes fiers de réaffirmer notre long partenariat avec le Museo Galileo et de contribuer à faire connaître le rôle joué par Galillée dans le domaine de l’horlogerie mécannique. L’héritage qu’il nous a transmis constitue pour Officine Panerai une source inépuisable d’inspiration, du fait de nos origines Toscanes communes mais surtout de la passion pour la recherfhe et l’exploration dont témoigne son œuvre ».
Après ces explications, quelques peu conséquentes mais nécessaires, rentrons maintenant dans le vif du sujet.
le Jupiterium Panerai est une horloge-planétarium à calendrier perpétuel qui donne à voir, selon le point de vue géocentrique, la position sur la voûte céleste du Soleil, de la Lune, de Jupiter ainsi que des « Astres médicéens », qui ne sont autres que les quatre principaux satellites de Jupiter, rebaptisés aujourd’hui Io, Europe, Ganymède et Callisto, et que Galileo Galilei observa pour la première fois en 1610, grâce à l’invention du télescope.
Tenant compte des particularités du point de vue de Galileo, le Jupiterium, créé entièrement par Officine Panerai, est un instrument mécanique qui indique les positions du soleil, de la lune et de Jupiter en fonction de la position sur la Terre de celui qui les observe. La sphère transparente du Jupiterium contient la Terre en son centre.
Crédit:Le net
Les autres corps célestes lui tournent autour, en fonction du point d’observation terrestre, à l’intérieur d’un parallélépipède de verre de 75 cm de long et de 86 cm de haut.
Crédit:le net
Le mécanisme du Jupiterium repose sur une base en acajou et est alimenté par une montre à calendrier perpétuel avec une réserve de marche de 40 jours.
Crédit:Le net
À l’intérieur du parallélépipède se trouve un globe transparent qui représente la voûte céleste. Il est formé de deux calottes figurant les hémisphères austral et boréal, unies par un fin liseré, qui symbolise l’équateur terrestre et où ont été gravés les 12 signes du zodiaque.
Crédit:Le net
Sur les deux hémisphères sont reproduites les constellations, qui sont en Super-LumiNova tout comme les astres, ce qui leur permet de briller dans la nuit, comme dans la réalité.
Crédit:le net
La voûte céleste, mobile, tourne sur elle-même pour figurer le mouvement apparent des astres vu par un observateur posté sur terre ; elle accomplit une révolution en 23 heures et 56 minutes par rotation, soit la durée d’un jour sidéral.
Crédit:Le net
Animés par un mouvement réglé sur celui de l’horloge, tous les corps célestes, à l’exception de la terre, se déplacent à l’intérieur de la sphère céleste, parcourant leur orbite en temps réel : la Lune tourne autour de la terre en 27,32 jours ; le Soleil fait un tour complet en 365,26 jours ; Jupiter accomplit une révolution autour du Soleil en 11,87 ans, tandis que ses satellites – Io, Europe, Callisto et Ganymède – décrivent leur orbite en 1,8 ; 3,6 ; 7,2 et 16,7 jours respectivement.
Au pied de ce savant système de bras et contrepoids soutenant les planètes se trouve un secteur de cercle muni de quatre guichets où s’affichent les indications du calendrier perpétuel, à savoir, dans l’ordre : le jour, le quantième, le mois, l’année. Le calendrier perpétuel a pour caractéristique de ne nécessiter aucune correction jusqu’en l’an 2100, année qui, théoriquement bissextile, ne le sera pas en pratique pour corriger les petits décalages du calendrier grégorien.
Crédit:Le net
Situé sous la sphère, sur le socle en acajou se trouve le cadran de l’horloge : conçu dans le style Panerai le plus pur, sa toile de fond est noire et trouée de longs index bâtons et de grands chiffres arabes à 12 heures et 6 heures, tous luminescents, à l’instar des aiguilles. En plus des heures, minutes et secondes, le cadran donne l’indication du jour et de la nuit ainsi que la réserve de marche : à remontage manuel, l’horloge a en effet une autonomie de 40 jours.
Crédit:Le net
Composée de 1476 pièces, le Jupiterium Panerai comprend une grande partie de pièces en titane et pèse 110 kilogrammes en tout.
Il s’agit d’une œuvre sans précédent, dont le niveau de complication mécanique donne un nouvel exemple de la virtuosité technique de la Manufacture Officine Panerai, qui a voulu rendre hommage, à travers cette extraordinaire horloge-planétarium, au père de la science moderne et à l’homme qui a ouvert la voie à l’horlogerie de précision, en formulant les lois sur le pendule.
Crédit:Le net
Une dernière vue nocturne d'ensemble avant le feu d'artifice
Crédit:Le net
Place au spectacle
Un peu de patience mais le full HD vaut le coup
http://vimeo.com/17216731
Les sources sont issues du net avec des risques d'erreurs possibles.
J'ai essayé toutefois de recouper les infos historiques.
Les infos techniques ont pour origines le même document. je n'aurai, bien évidemment, pas pu faire mieux.
J'espère que vous aurez pris autant de plaisir à lire et à regarder que j'ai eu à le faire.
Mitch
L’histoire de PANERAI est récente comparée à des Patek Philippe, Rolex, Jaeger-lecoultre et j’en passe.
Ces maisons horlogères bien plus anciennes ont développé bon nombre de calibres et de complications encore d’actualité aujourd’hui.
L’engouement pour la marque n’a jamais été pour son coté horloger, mais plus pour son histoire et le design de ses modèles, relayés par une politique commerciale et un marketing savamment orchestrés par le groupe Vendôme devenue Richemont.
Nonobstant, Le 21ème siècle est le témoin de changements profonds dans l’ordre établi avec l’avènement de plusieurs marques horlogères plus ou moins récentes.
c’est le cas de notre marque préférée devenue véritable manufacture (c’est à dire réalisant ses propres mouvements), avec son premier mouvement le P2002 au début des années 2000.
La réalisation présentée ici est l'une de celles qui fait entrer OP dans la cours des grandes manufactures horlogères.
Avant de vous la présenter plus en détails, un petit rappel historique s’impose.
Hommage au précurseur de la mesure du temps.
Galillé (de son vrai nom Galileo Galilei), Physicien et astronome Italien Né en 1564.
Crédit:Le net
A 19 ans, Galileo Galilei découvre les lois du pendule en chronométrant, selon la tradition à l’aide de son pouls les oscillations d’un lustre de la cathédrale de Pise.
Crédit:Le net
Publiée seulement en 1638, cette loi de l’isochronisme stipule que la durée d’une oscillation ne dépend que de la longueur du pendule et non de l’amplitude du mouvement.
Cette découverte allait permettre la réalisation des premières horloges à poids et à pendule. Une révolution pour l’époque.
L’utilisation du mouvement pendulaire a ainsi apporté une première solution à la précision horlogère dont les Maisons de la branche sont aujourd’hui les directes héritières.
En parallèle, Grace aux travaux qu’avait entrepris avant lui le Néerlandais Lippershey sur le développement des lentilles (longue-vue), Galilée parviendra en quelques mois à obtenir des images droites (grâce à une lentille divergente en oculaire) ainsi que des représentations nettement plus précises tout en augmentant de 30 fois la puissance de grossissement de l’appareil.
Ces observations sont permises par des lentilles nouvelles, polies à Florence, où exercent des maîtres-artisans dont l’art sera de nouveau mis à profit des siècles plus tard par les laboratoires Panerai.
Crédit:Le net
En 1610, ses avancées lui permettront d’observer pour la première fois la voie lactée, la surface irrégulière de la lune, les taches solaires, les phases de Vénus et, surtout, la découverte des quatre satellites de Jupiter, qu’il a baptisés « astres médicéens »
en l'honneur de ses protecteurs et pourvoyeurs de fonds, les Médicis, Grands Ducs de Toscane.
Fort de ces observations célestes, Galilée a non seulement confirmé de façon empirique la théorie héliocentrique de Nicolas Copernic (existence d’étoiles orbitant autour d’un corps céleste autre que la terre), mais il a également permis une avancée importante dans une autre conquête essentielle pour l’époque : le calcul des longitudes en mer.
Il propose une méthode qui utilise le mouvement régulier des satellites de Jupiter en guise d’horloge céleste. Exacte en théorie, la méthode se heurte en pratique à la difficulté à observer le ciel de façon stable depuis un bateau qui tangue.
La solution pour résoudre cet éternel casse-tête pour les navigateurs, viendra un siècle plus tard avec l’invention du chronomètre de marine par L’anglais John Harisson
Chronomètre H1 de Harisson
Crédit:Le net
Pour l’anecdote, Giovanni PANERAI ouvrira sa première boutique près de 280 ans après les découvertes de Galilée
Galilée, mesure du temps, Florence, PANERAI…de cette union symbolique est né le JUPITERIUM en 2010 à l’occasion de l’exposition « Le télescope de Galileo Galilei-l’instrument qui a changé le monde » organisée au musée nobel de Stockholm.
Cette horloge-planetarium à calendrier perpetuel développée par OP est en fait la solution à l’un des rêves de Galilée :
« Pouvoir utiliser le mouvement des satellites de Jupiter comme horloge planétaire parfaite »
C’est donc naturellement que OFFICINE PANERAI, dans le cadre d’un partenariat de longue date, en a fait don en 2012 au MUSEE GALILEO de Florence.
Crédit:Le net
Professeur Paolo galluzzi-Directeur du Museo Galileo
« Grâce à la collaboration féconde qui le lie depuis de longues années à Officine Panerai, le Museo Galileo inaugure une nouvelle section qui illustre quelques unes des plus remarquables conquêtes de Galilée…Ces conquêtes ont non seulement révolutionné la conception de l’univers et du mouvement, mais elles ont permis d’accomplir un bond décisif dans le domaine des systèmes mécaniques de mesure du temps,enclanchant une dynamique de perfectionnement perpétuel, qui n’a cessé depuis lors.
Par son extraordinaire compléxité mécanique et sa rigoureuse précision, le Jupiterium dont officine Panerai a généreusement fait don au Museo Galileo rend compte avec une grande force évocatrice de la relation intime entre tradition et innovation».
Angelo BONATI – CEO Officine Panerai
« Nous sommes fiers de réaffirmer notre long partenariat avec le Museo Galileo et de contribuer à faire connaître le rôle joué par Galillée dans le domaine de l’horlogerie mécannique. L’héritage qu’il nous a transmis constitue pour Officine Panerai une source inépuisable d’inspiration, du fait de nos origines Toscanes communes mais surtout de la passion pour la recherfhe et l’exploration dont témoigne son œuvre ».
Après ces explications, quelques peu conséquentes mais nécessaires, rentrons maintenant dans le vif du sujet.
JUPITERIUM PANERAI
le Jupiterium Panerai est une horloge-planétarium à calendrier perpétuel qui donne à voir, selon le point de vue géocentrique, la position sur la voûte céleste du Soleil, de la Lune, de Jupiter ainsi que des « Astres médicéens », qui ne sont autres que les quatre principaux satellites de Jupiter, rebaptisés aujourd’hui Io, Europe, Ganymède et Callisto, et que Galileo Galilei observa pour la première fois en 1610, grâce à l’invention du télescope.
Tenant compte des particularités du point de vue de Galileo, le Jupiterium, créé entièrement par Officine Panerai, est un instrument mécanique qui indique les positions du soleil, de la lune et de Jupiter en fonction de la position sur la Terre de celui qui les observe. La sphère transparente du Jupiterium contient la Terre en son centre.
Crédit:Le net
Crédit:le net
Le mécanisme du Jupiterium repose sur une base en acajou et est alimenté par une montre à calendrier perpétuel avec une réserve de marche de 40 jours.
Crédit:Le net
À l’intérieur du parallélépipède se trouve un globe transparent qui représente la voûte céleste. Il est formé de deux calottes figurant les hémisphères austral et boréal, unies par un fin liseré, qui symbolise l’équateur terrestre et où ont été gravés les 12 signes du zodiaque.
Crédit:Le net
Sur les deux hémisphères sont reproduites les constellations, qui sont en Super-LumiNova tout comme les astres, ce qui leur permet de briller dans la nuit, comme dans la réalité.
Crédit:le net
La voûte céleste, mobile, tourne sur elle-même pour figurer le mouvement apparent des astres vu par un observateur posté sur terre ; elle accomplit une révolution en 23 heures et 56 minutes par rotation, soit la durée d’un jour sidéral.
Crédit:Le net
Animés par un mouvement réglé sur celui de l’horloge, tous les corps célestes, à l’exception de la terre, se déplacent à l’intérieur de la sphère céleste, parcourant leur orbite en temps réel : la Lune tourne autour de la terre en 27,32 jours ; le Soleil fait un tour complet en 365,26 jours ; Jupiter accomplit une révolution autour du Soleil en 11,87 ans, tandis que ses satellites – Io, Europe, Callisto et Ganymède – décrivent leur orbite en 1,8 ; 3,6 ; 7,2 et 16,7 jours respectivement.
Au pied de ce savant système de bras et contrepoids soutenant les planètes se trouve un secteur de cercle muni de quatre guichets où s’affichent les indications du calendrier perpétuel, à savoir, dans l’ordre : le jour, le quantième, le mois, l’année. Le calendrier perpétuel a pour caractéristique de ne nécessiter aucune correction jusqu’en l’an 2100, année qui, théoriquement bissextile, ne le sera pas en pratique pour corriger les petits décalages du calendrier grégorien.
Crédit:Le net
Situé sous la sphère, sur le socle en acajou se trouve le cadran de l’horloge : conçu dans le style Panerai le plus pur, sa toile de fond est noire et trouée de longs index bâtons et de grands chiffres arabes à 12 heures et 6 heures, tous luminescents, à l’instar des aiguilles. En plus des heures, minutes et secondes, le cadran donne l’indication du jour et de la nuit ainsi que la réserve de marche : à remontage manuel, l’horloge a en effet une autonomie de 40 jours.
Crédit:Le net
Composée de 1476 pièces, le Jupiterium Panerai comprend une grande partie de pièces en titane et pèse 110 kilogrammes en tout.
Il s’agit d’une œuvre sans précédent, dont le niveau de complication mécanique donne un nouvel exemple de la virtuosité technique de la Manufacture Officine Panerai, qui a voulu rendre hommage, à travers cette extraordinaire horloge-planétarium, au père de la science moderne et à l’homme qui a ouvert la voie à l’horlogerie de précision, en formulant les lois sur le pendule.
Crédit:Le net
Une dernière vue nocturne d'ensemble avant le feu d'artifice
Crédit:Le net
Place au spectacle
Un peu de patience mais le full HD vaut le coup
http://vimeo.com/17216731
Les sources sont issues du net avec des risques d'erreurs possibles.
J'ai essayé toutefois de recouper les infos historiques.
Les infos techniques ont pour origines le même document. je n'aurai, bien évidemment, pas pu faire mieux.
J'espère que vous aurez pris autant de plaisir à lire et à regarder que j'ai eu à le faire.
Mitch
Dernière édition par Mitch. le Lun 7 Jan 2013 - 22:27, édité 7 fois